Angkor, une des sept merveilles du monde (2)

La cité bâtie autour d’Angkor, qui fût la capitale de l’empire Khmer entre le 9e et le 16e siècle, s’étendait sur près de 3.000 kilomètres carré. Elle fait partie de notre imaginaire, au même titre que la civilisation égyptienne ou maya.

C’est de novembre à mars qu’Angkor se laisse découvrir avec bonheur.

Angkor, une forêt de pierres (1)

De ses millions de membres noués, la forêt étreint les ruines avec un amour furieux. Pas de romantisme je vous prie. Je ne dis pas qu’on ait eu tort de dégager certaines d’entre elles, mais je regrette de ne pas les avoir vues avant, quand il était a peu près impossible de distinguer la pierre de l’écorce, quand une fleur sortait de la bouche d’une apsara, quand la mousse livide où fourmillent les insectes modifiait le modelé d’un ventre ou mettait une lueur sur une croupe en mouvement.

Elie Faure  » Mon périple » 1931

Banteay Srei

Bayon, à tout moment j’ai l’impression qu’ils vont se réveiller…

Market (Cambodia)

Les marchés au Cambodge sont ouverts tous les jours jusqu’à 17 h.

Ce sont des fourmilières grouillantes, odorantes, colorées et bruyantes, où fusent des éclats de rire continuels et de la bonne humeur.

On y trouve absolument tout.

Des gadgets, de l’épicerie, des tissus, de la nourriture, des fleurs, des bijoux, des sculptures, des habits (T.Shirts et fripes), des antiquités, de la quincaillerie et de l’électroménager, des cartes du pays, des cigarettes Alain Delon, des bouquins, des valises…

et du pain blanc chez les marchands ambulants.

Des jus de fruits frais

Objet super indispensable, le balai. Ils s’en servent toute la journée.

De l’équilibre dans la présentation.

Des légumes pour les « Ketiw », soupes cambodgiennes

Dans les sachets ce sont des pamplemousses roses pelés.

La petite fille fait des bulles de savon

Les fameux « Krama ».

Beaux foulards typiquement cambodgiens en coton ou en soie.

Il est porté par tous, femmes, hommes et enfants, et il est à carreaux.Il a une multitude de fonctions. Sert de couvre-chef, pour porter les fruits, pour s’éponger, comme couche pour les bébés, comme porte-bébés ou hamac, épuisette de pêche ou nappe. C’est le symbole de l’identité khmère, tissu aux milles fonctions.

Il assure un revenu supplémentaire aux femmes qui les tissent quand il n’y a pas de travail dans les rizières.